25 juin 2025
Je m’appelle Thomas ESCOT, j’ai 33 ans et je suis le fondateur de l’entreprise Fais de la place.
Mon parcours est atypique. J’ai été formé pendant six ans chez les Compagnons en tant que charpentier couvreur zingueur. Puis j’ai choisi de me reconvertir : j’ai repris mes études, obtenu un BTS puis une licence en commerce à Lyon.
L’idée de Fais de la place est née d’une simple question : « Comment nos anciens font-ils pour vendre leurs objets sur Le Bon Coin ? ». J’ai alors imprimé des cartes de visite avec cette proposition : « Fais de la place – Je vends à votre place, et je prends 20 % de commission. »
Rapidement, on ne m’a plus seulement demandé de vendre… mais de vider des maisons entières. Une, puis deux, puis dix. Le concept s’est imposé naturellement : Fais de la place prenait tout son sens.
Aujourd’hui, cela fait trois ans que je développe ce projet. Je veux maintenant l’industrialiser, mais surtout y donner du sens. Mon ambition est de bâtir une entreprise économiquement solide, mais surtout à fort impact social et environnemental.
J’ai construit seul cette aventure, de A à Z. Et j’atteins aujourd’hui les limites de ce que je peux faire seul. J’ai longtemps négligé la gestion et le pilotage stratégique au profit de l’opérationnel. Mais depuis plusieurs mois, je travaille activement sur ces points… et les résultats commencent à se faire sentir.
Pour passer un nouveau cap, je dois être accompagné. J’ai besoin d’être challengé, guidé, entouré par des personnes expérimentées.
Intégrer la Fondation Emergences, est pour moi :
Je n’ai pas grandi dans un environnement entrepreneurial. Je n’ai aucun modèle, aucune « vision toute faite ». Mais je suis animé par une certitude : Je veux emmener Fais de la place le plus loin possible, avec un vrai impact environnemental et social.
La phrase qui me représente le mieux (et que je me répète souvent) est simple : « Au pire, si tu échoues, qu’est-ce qu’il t’arrive ? Rien. Alors fonce. »
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Grâce à un accompagnement sur mesure, il aide les architectes d’intérieur et le client final (souvent particulier) en cherchant et trouvant à leur place les matériaux à faible impact carbone auprès du réseau de l’économie circulaire français. Cela fait gagner du temps, de l’argent et améliore l’impact environnemental du chantier.
Il est aujourd’hui urgent de repenser nos modes de vie pour les rendre plus soutenables au regard des enjeux écologiques, et notamment climatiques. Pour éviter un emballement climatique, nous devons, en France, réduire notre empreinte carbone de 80 % d’ici 2050. Nous tâchons d’accompagner les citoyens dans le changement de comportement et d’habitudes de consommation pour atteindre un mode de vie plus soutenable.